Treize mille salariés (actifs ou retraités) détiennent 8,3 % du capital et près de 15 % des droits de vote d’Essilor. Réunis au sein de l’association Valoptec, ils jouent un rôle clé dans la gouvernance de l’entreprise grâce à une mécanique finement réglée, à laquelle Aïcha Mokdahi veille comme le lait sur le feu.
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